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Affichage des articles associés au libellé USA

Trump refuse un député écologiste français sur ses terres, à Fascistoland #LaDigue

  source Pouria Amirshahi est un personnage politique que je respecte pour avoir suivi sa trajectoire depuis de longues années. Son positionnement, sans être tout à fait conforme à ma propre orientation politique, me convient dans la mesure où il s'est montré d'une droiture sans faille face à l'extrême-droite. Je ne conserve toutefois que peu de traces dans mes archives à son sujet. On le retrouve ici dans un manifeste " pour l'accueil des migrants " en 2018. Où là encore, en 2016, s'opposer à la honteuse "loi travail" d' El Khomri. Et enfin ici s'opposer au virage antisocial impulsé par Hollande et Valls, ce fauxcialisme que je n'ai cessé de dénoncer alors, qui lui a valu de quitter le Parti dit "socialiste" pour se réfugier chez les écolos. Et comment vous dire... Moi, quelqu’un qui s'oppose à Valls pour de très bonnes raison ne peut que m'être un tantinet sympathique.  Et voilà que j'apprends dans cet artic...

Les américains ne sont pas tous des imbéciles à l'image de Trump

  source   Si une majorité d'américains ont voté pour un imbécile absolu, ivre de pouvoir et d'argent sans limites,  il est toujours rassurant de constater que tous ne sont pas aussi idiots.  Hier, une mobilisation importante contre Trump et Musk a eu lieu, qui a rassemblé des millions de personnes qui contestent l'action de ce gouvernement d'essence fasciste, autoritaire, raciste, antisocial et LGBTphobe.  La carte des mobilisations, sous le slogan " Hands off! " (qu'on pourrait traduire par "pas touche" ou "bas les pattes")  est assez impressionnante :  capture d'écran d'une carte interactive du site dédié ( source ) La mobilisation contre Trump et ses idiots utiles est en fait une convergence de plusieurs mouvements :  source   Aux côtés de Hands off, figurait également les militants du mouvement 50501 , pour « 50 manifestations, 50 États, 1 mouvement », a également grossi les troupes. Apparu en février via le réseau social...

Jusqu'où nous mène la bêtise crasse de la #transphobie ? Aujourd'hui, en #Arkansas...

 Je savais, bien sûr, que les USA étaient en proie à une vague réactionnaire conservatrice ahurissante dont Trump est l'incarnation abrutissante, qui nous gratifie chaque jour d'un événement abêtissant supplémentaire. Mais dans certains états, il ne fait pas que frôler les espaces intersidéraux. En Arkansas, l'obscurantisme atteint de tels niveaux inégalés,  qu'ils n'ont rien à envier aux règles absurdes,  si effroyablement sexistes des talibans. Un tel conservatisme relève de la haine des différences davantage que de l'analyse politique. Ainsi, ceux qui ont proposé une telle loi doivent probablement faire partie d'une secte radicale dont j'ignore la nature, mais dont l'impact est certain. Mais trêve de préambule, voici à quoi je veux en venir :  source J'ai pris connaissance de cette information sur BlueSky, via un site dont je me méfie dans la mesure où il m'a déjà habitué à des fakenews et autres informations non vérifiées, 7sur7.be. Mais ...

Liberté de la presse : la poutre dans l'oeil de Trump et la paille dans celui de Bayrou

 Il me semble plutôt intéressant mais aussi édifiant de comparer la réalité des symptômes du tournant autoritariste et anti-démocratique de notre société de part et d'autre de l'Atlantique, pour reprendre une expression journalistique un peu bateau ;) Ainsi, je voudrais m'adresser aux bonnes âmes bien nées et aux chroniqueurs patentés qui s'indignent de ce qui se passe aux USA en termes de violation des droits humains, et de non-respect des règles démocratiques les plus élémentaires. Comme ils ont raison de s'indigner, je ne dirai pas le contraire. Mais ils seraient fort avisés de constater qu'il se passe très exactement la même chose dans notre pays, n'en déplaise aux macronistes et consorts qui ne manqueront pas de s'offusquer d'une telle affirmation. J'exagérerais ? Un "simple" exemple : celui de la liberté de la presse, ce soi-disant  contre-pouvoir si affaibli aujourd'hui tant il est en proie,  ici comme là-bas,  à la pression...

No Futur

 Nous sommes le Lundi 17 février 2025 et l'antépénultième motion de censure   (la 6ème en un mois !) ne sera toujours pas votée. Le premier ministre, malgré son silence complice sur une immonde affaire de pédocriminalité et ses mensonges répétés et avérés, n'est toujours pas démis de ses fonctions,  en dépit de son absence totale de probité. Aux USA, la bande à Trump peut continuer impunément de détricoter tous les droits sociaux des américains en toute impunité, jusqu'à se permettre de venir provoquer les européens eux-mêmes sur leurs valeurs fondamentales en se posant en donneurs de leçons... de fascisme international .  Ce monde court à sa perte. Et je regarde, imperturbable, en grignotant des cacahuètes. Un tel monde ne mérite pas de survivre, lui qui roule à vive allure en klaxonnant si près du mur.  source (lundi matin, chagrin...).

Election de Trump : le fascisme est déjà là...

Les américains ont donc réussi le tour de force imbibé de bêtise crasse d'élire une deuxième fois "le pire d'entre eux ". Le constat est sans appel. Mais vient maintenant l'heure d'examiner les conséquences de de désastre électoral. On peut déjà, avant même son installation à la Maison Blanche, observer un à un les symptômes de l'avènement d'un régime fasciste à la sauce américaine , comme le décrivait Robert de Niro. Celles et ceux qui ont le plus à craindre peuvent encore exprimer leurs peurs à l'arrivée à la tête des états américains de ce César de l 'idiocratie yankee.  Mais pour combien de temps ? Les femmes d'abord, en première ligne, ont tout à craindre de l'idéologie patriarcale arriérée de ce sale type. Leurs droits seront forcément remis en cause, encore plus qu'ils ne le sont déjà par les politiques rétrogrades des états les plus acquis aux causes de Trump.  source  Beau progrès social que voilà, qui engendrera une si...

Bonne chance, @KamalaHarris

  source   Une petite aparté pour commencer :  à l'occasion de ce billet d'humeur, je découvre que le Président américain se nomme en réalité pour l'Etat Civil de son pays Joseph Robinette Biden. C'est vraiment ridicule, et je comprends qu'il n'ait pas choisi de l'ébruiter. Sans quoi cela entacherait sérieusement sa crédibilité, et entamerait ses chances de concourir... à sa "propre" succession. Un peu plus sérieusement,  ce n'est pas son deuxième prénom qui explique son retrait de la campagne présidentielle américaine.  En fait, une partie de son propre camp le pressait déjà instamment de retirer sa candidature avant la convention nationale, en août, pendant laquelle il devait être formellement investi . L a candidature de l'octogénaire n'a en effet cessé d'être critiquée en raison de son âge avancé . Les premiers à faire ce reproche au démocrate ont été ses adversaires républicains, qui dans le sillage de Trump, cet immonde pe...