source Extrait ( à déconseiller aux âmes sensibles ) : Le brigadier ferme toujours la porte de son bureau derrière lui. Ses collègues ont l’habitude : Jean-Pierre F.* recueille des plaintes de victimes de violences conjugales, des récits qui requièrent intimité et confiance. Fin août 2017, c’est au tour de Manon*, 28 ans, de suivre le policier au deuxième étage du commissariat de Toulouse, dans le quartier de Jolimont. Menacée par un mari violent, la jeune femme craint pour la sécurité de sa fille. Pour la rassurer, le policier se lève, fait le tour du bureau, la prend dans ses bras, puis… descend progressivement les mains sur ses fesses. Manon essaye de s’enfuir, mais le policier « bloque la porte, lui attrape la tête, sort son sexe en érection et force la fellation » , relate Emmanuelle Franck, l’avocate de la jeune mère de famille. Elle attend désormais le procès du policier toulousain aux côtés de cinq autres plaignantes. Cette affaire pourrait pas...
Blog très personnel d'actualités politiques et sociales, par un éditorialiste sans journal fixe... Mais pas sans idées ni convictions... #NoNazis