Au menu de ce discours du premier ministre : salmigondis à la sauce béarnaise. Comme lors du même type de discours de son prédécesseur, Michel Barnier, il y a seulement quelques mois, que je qualifiais de soporifique , celui de Bayrou n'a pas échappé à la règle... de l'endormissement général. D'ailleurs, à la fin, plus personne ne l'écoutait tant le ton comme le contenu étaient poussifs. Aucune annonce significative, rien que de l'enfumage de vieux routard de la politique professionnelle, fait de verbiage, de mots creux dans une forme de succession de déclarations d'intentions qu'on hésitera à qualifier de liste à la Prévert sans insulter le poète. A l'écoute attentive de ce discours empesé, on se demande après coup ce que les socialistes ont bien pu obtenir comme avancées à la suite de leurs tractations de coulisses tant décriées et sujettes à noms d'oiseaux habituels genre "traitres " et "collabos". Rien sur l'augment...
Blog très personnel d'actualités politiques et sociales, par un éditorialiste sans journal fixe... mais pas sans idées ni convictions ( #NoNazis)