Accéder au contenu principal

L'honneur perdu du soldat Lecornu

 Ces gens là n'ont donc pas d'honneur ni d'amour-propre, cela est entendu, reconnu et confirmé par l'attitude méprisable de ce nouvel ancien premier ministre, nommé par la grâce du prince. 

 Alors qu'il avait juré droit dans les yeux et la main sur le cœur devant Léa Salamé mercredi qu'il ne souhaitait pas être reconduit, voilà qu'il rempile donc pour le plus détestable qui soit des règnes finissant dans une décrépitude totale. 

Quelque chose est pourri au royaume de Macron, et je crains fort comme d'autres qu'on ne doive le payer dans le sang et les larmes. 

On donne à la bête immonde  le droit de ricaner en toute décontraction,  elle qui regarde en jubilant ce pitoyable spectacle politique terriblement national qui nous fait honte à tous, impuissants que nous sommes à devoir l'arrêter, ce qui devient une nécessité vitale et démocratique absolue.

Le roi est nu, et l'enfant qui le dénonce se voit inondé des crachats d'irréductibles qui se rendent coupables d'un crime contre la démocratie que tout le monde peut observer chaque jour devant la lucarne imagique en comptant les chefs de gouvernement qui défilent les uns après les autres,  nourrissant ainsi jour après jour le dégoût populaire. 

 Tout mon vomis.  


Post- scriptum : non, rien....



 

 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Pourquoi les #républicanistes franchouillards s'en prennent à #Wikipédia ?

 La clique du Printemps Républicain a encore frappé. Elle a cru bon de s'en prendre à Wikipédia, encyclopédie collaborative à laquelle je suis personnellement très attaché.    Les (premiers, vraiment ?) signataires de ce texte sont consignés ici :    Premiers signataires (par ordre alphabétique) : Bernard Accoyer (ancien président de l'Assemblée nationale), Éric Anceau (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine), Sophia Aram (humoriste), Thierry Ardisson (producteur de télévision), Muriel Attal (directrice de la communication chez France Télévisions), Olivier Babeau (président de l'Institut Sapiens), Élisabeth Badinter (philosophe, essayiste), Tristane Banon (romancière), Eugénie Bastié (journaliste du Figaro ), Pierre Bentata (essayiste, professeur d'économie), Muriel Beyer (éditrice), Jean-Michel Blanquer (président du Laboratoire de la République, ancien ministre de l'Éducation), Nicolas Bouzou (économiste, éditoria...

#Bayrou, complice de la #pédocriminalité. Démission !

Dans n'importe quelle démocratie, un ministre, fut-il chef de gouvernement, aurait sauté pour moins que ça. Pourtant, le silence des médias et de la classe politique sur le sujet est absolument ahurissant.  source Il est à présent établi que l'actuel premier ministre, François Bayrou, ne pouvait pas ignorer cette affaire d' agressions sexuelles sur mineurs au sein du pensionnat catholique Notre-Dame de Bétharram (rebaptisé pour tenter d'échapper au scandale "Le Beau rameau")  situé près de Lourdes. En effet, il est encore maire de Pau,  et il a exercé les mandats de député des Pyrénées-Atlantiques, de président du Conseil général, et de ministre de l'Éducation nationale. De plus,  ces deux enfants sont scolarisés dans cet établissement, et son épouse y a enseigné le catéchisme.   source Celui qui était alors ministre s’est en effet rendu sur les lieux, et cet article confirme qu’il était au courant de l’une des plaintes déposée par une victime :  ...

Caroline Fourest victime du féminisme intersectionnel

 Quand je suis tombé sur cette publication de Nils Wilcke sur Blue Sky   (hé oui, twitter, c'est définitivement  fini ) j'ai voulu en savoir un peu plus que ce que permet 300 caractères, et je n'ai pas été déçu : source  Difficile après cela de croire au grand courage et à leur détermination à participer aux grandes causes humanistes de nos vedettes préférées. Je sais, ça décile.  Apprendre que des féministes d'opérette (qui viennent qui plus est de signer une tribune prétendant défendre un féminisme moins radical, dit "universaliste",  dans laquelle on s'étonne de trouver certains noms) , répugnent à répondre à visage découvert à une commission d'enquête parlementaire , voilà qui ne m'étonne guère. Il ne faudrait pas se faire trop d'ennemis chez les financeurs du spectacle vivant. Surtout quand cela vient de cette mythomane sans la moindre once de crédibilité (si ce n'est pour les médias main stream qui ne font pas leur boulot de fond) qu...