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Michèle Marchand, "papesse" d'une très mauvaise presse, n'est pas vraiment Mimi...

La France peut s’enorgueillir, comme je l'écrivais ici, d'être sur le podium des pays les plus corrompus au monde, au même niveau exactement que la Somalie, le Turkménistan ou la Corée du Nord. C'est dire assez. 

Et si l'on juge, sur ce même registre, la qualité et l'intégrité de nos dirigeants au comportement personnel des conseillers et des relations personnelles dont ils s'entourent, je crains que le tableau ne s'alourdisse d'un soupçon encore plus grand envers les deux derniers présidents, Sarkozy et Macron. A en dégoûter de la politique, qui pue de plus en plus, vraiment. Et chaque jour nous donne une raison de mépriser nos politiques et de s'en retrouver écœuré. 

 J'en veux pour preuve la condamnation qui vient de tomber sur la tête de celle que les médias nomment la papesse de la presse people, à bien mauvais escient puisqu'elle s'est montrée durablement bien peu en odeur de sainteté, cette mauvaise personne qu'il vaut mieux ne pas connaître tant ses méthodes sont puantes.  

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 Michèle Marchand n'est franchement pas mimi au sens bisounours loly cat du terme. Suffit de regarder sa page wiki. La longue litanie de ses innombrables saloperies est proprement hallucinante, à en donner le vertige, à en vomir, pour ceux qui ont le plaisir de ne pas la connaître : 



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 Je ne comprends même pas que des personnalités politiques, qui plus est à la tête de l'Etat, qui devraient avoir une conduite à minima exemplaire, puissent s'entourer des services de telles crapules, arguments ci-dessus à l'appui. 

Et là, en l’occurrence, vu le contexte, ce n'est plus un jugement personnel, mais une simple constatation pragmatique, au vu de ce lourd dossier. Beaux amis que voilà. 

(je vais vomir).  

 

 

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