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Elon Musk, hors de nos vies... et de nos trains ! #SNCF #Starlink

 Voilà un individu dont on connait pourtant l'idéologie malsaine et délirante,  qui a fait la preuve de sa particulière toxicité, et qui n' a démontré aucun état d'âme pour s'associer à des vagues de licenciements massifs de fonctionnaires américains, à la tête de la trop célèbre agence DOGE, aux méfaits bien connus. Quelqu'un qui n'a jamais fait mystère de son suprémacisme, illustré par son trop célèbre salut nazi. 

Pourtant, nous qui nous croyions à l'abri de ses élucubrations dangereuses, dans l'hexagone, apprenions hier que la SNCF hésite entre deux concurrents pour raccorder les rames SNCF à internet. Et parmi l'un d'eux, Ô surprise, devinez qui... 

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Nous sommes informés par ce média, La Lettre, que le réseau ferroviaire (autrefois ?) public français ne sait pas quelle proposition choisir, entre la société douteuse du non moins nauséabond Musk et celle,  européenne, qu'est Eutelsat. Pour moi, c'est tout choisi. Et pas seulement pour des raisons idéologiques, tant cet individu représente l'exact contraire de mes idées. Mais pour un motif tout à fait pragmatique, qui relève de notre indépendance : Starlink n'a-t-il pas purement et simplement coupé l'accès de son réseau du jour au lendemain aux Ukrainiens ? 

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Comment, dans ces conditions, la SNCF peut-elle envisager une seule seconde de faire confiance à un tel individu, si fantasque ? 

Foi de fils de cheminot, cela me révulse au plus haut point et m'hallucine. Mais comment une telle alternative est-elle sérieusement possible ? 

J'attends la suite avec impatience... 

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