On a les combats qu'on mérite...
" Le chef de la contrée proncière du Paca requiert des associations à qui subsides sont offerts qu'elles s'expriment en ancien français. Sinon, nul soutien ne sera accordé" (traducteur en français normal ici)
Ce n'est certainement pas un hasard que ce soit cette région précisément qui soit à l'origine de cette décision totalement ahurissante d'autoritarisme et de refus d'une pratique pourtant à mon sens si salutairement progressiste, dans cette société où le patriarcat ne cesse de redresser un peu trop fièrement a tête ;). Et moi je dis, comme toujours : à bas le virilisme à la con, point barre. Yen a marre.
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Je trouve cette position dogmatique proprement révoltante et attentatoire aux libertés fondamentales. On la croirait sortie tout droit de l'Amérique Trumpiste. De quel droit une région s'avise-t-elle de museler l'expression associative en lui demandant de se conformer à un dogme qui relève d'une idéologie identitaire contre laquelle je me battrai jusqu'à mon dernier souffle ?
La région Sud-PACA conditionne ses subventions aux associations à l'utilisation, ou non, de l'écriture inclusive. Une décision assumée par le président de droite de la région Renaud Muselier, et soutenue par l'opposition Rassemblement national.
Dorénavant, il conviendra donc s'exprimer en françois anciïen. Et de se d’rapper dans un passé figé totalement grotesque, à l'image de l'extrême-droite à laquelle Muselier s'allie donc sur le sujet. Honte sur lui jusqu'à la nuit des temps. Cela relève à mon sens d'une manœuvre politique tout à fait médiocre pour s'allier une clientèle électorale sensible à ce genre de totems qu'on agite pour engranger de potentielles futures victoires électorales. Et c'est tellement petit, petit...
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