Accéder au contenu principal

les Mormons font le siège de Renaissance

 Devant une telle information, passé la sidération et l'envie d'en rire  (jusqu'à en faire des jeux de mots tous pourris du genre de celui ci-dessus), on ne peut que se perdre en hypothèses... 

 

source

La moins farfelue serait que Renaissance doit faire face à une situation financière suffisamment catastrophique pour se voir obligée de vendre son patrimoine immobilier. C'est en général ce que l'on fait quand on ne parvient plus à payer ses créances. Voilà qui me réjouit plutôt. 

Une autre qui nous est proposée en filigrane par l'incipit de l'article en question serait la suivante : pour ne pas avoir à faire face aux immanquables critiques en cas de vente de leur immeuble à cette secte, ils ont dû renoncer au dernier moment car ils craignaient une fuite dans la presse, ce qui n'a pas manqué de se produire. Et c'est tant mieux. 

Où il est donc démontré dans un cas comme dans l'autre que Renaissance et le petit freluquet qui leur sert de porte-voix ne sont ni courageux ni téméraires, mais surtout très très hypocrites. Car l'on peut supposer sue s'ils n'avaient pas eu peur du quand-dira-t-on, ils n'auraient eu aucune forme de scrupule à vendre leur bâtiment cossu dans un arrondissement bourgeois -  ce qui sied tant à la nature de Renaissance - à cette secte homophobe. CQFD. 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Pourquoi les #républicanistes franchouillards s'en prennent à #Wikipédia ?

 La clique du Printemps Républicain a encore frappé. Elle a cru bon de s'en prendre à Wikipédia, encyclopédie collaborative à laquelle je suis personnellement très attaché.    Les (premiers, vraiment ?) signataires de ce texte sont consignés ici :    Premiers signataires (par ordre alphabétique) : Bernard Accoyer (ancien président de l'Assemblée nationale), Éric Anceau (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine), Sophia Aram (humoriste), Thierry Ardisson (producteur de télévision), Muriel Attal (directrice de la communication chez France Télévisions), Olivier Babeau (président de l'Institut Sapiens), Élisabeth Badinter (philosophe, essayiste), Tristane Banon (romancière), Eugénie Bastié (journaliste du Figaro ), Pierre Bentata (essayiste, professeur d'économie), Muriel Beyer (éditrice), Jean-Michel Blanquer (président du Laboratoire de la République, ancien ministre de l'Éducation), Nicolas Bouzou (économiste, éditoria...

#Bayrou, complice de la #pédocriminalité. Démission !

Dans n'importe quelle démocratie, un ministre, fut-il chef de gouvernement, aurait sauté pour moins que ça. Pourtant, le silence des médias et de la classe politique sur le sujet est absolument ahurissant.  source Il est à présent établi que l'actuel premier ministre, François Bayrou, ne pouvait pas ignorer cette affaire d' agressions sexuelles sur mineurs au sein du pensionnat catholique Notre-Dame de Bétharram (rebaptisé pour tenter d'échapper au scandale "Le Beau rameau")  situé près de Lourdes. En effet, il est encore maire de Pau,  et il a exercé les mandats de député des Pyrénées-Atlantiques, de président du Conseil général, et de ministre de l'Éducation nationale. De plus,  ces deux enfants sont scolarisés dans cet établissement, et son épouse y a enseigné le catéchisme.   source Celui qui était alors ministre s’est en effet rendu sur les lieux, et cet article confirme qu’il était au courant de l’une des plaintes déposée par une victime :  ...

Caroline Fourest victime du féminisme intersectionnel

 Quand je suis tombé sur cette publication de Nils Wilcke sur Blue Sky   (hé oui, twitter, c'est définitivement  fini ) j'ai voulu en savoir un peu plus que ce que permet 300 caractères, et je n'ai pas été déçu : source  Difficile après cela de croire au grand courage et à leur détermination à participer aux grandes causes humanistes de nos vedettes préférées. Je sais, ça décile.  Apprendre que des féministes d'opérette (qui viennent qui plus est de signer une tribune prétendant défendre un féminisme moins radical, dit "universaliste",  dans laquelle on s'étonne de trouver certains noms) , répugnent à répondre à visage découvert à une commission d'enquête parlementaire , voilà qui ne m'étonne guère. Il ne faudrait pas se faire trop d'ennemis chez les financeurs du spectacle vivant. Surtout quand cela vient de cette mythomane sans la moindre once de crédibilité (si ce n'est pour les médias main stream qui ne font pas leur boulot de fond) qu...