C'est pourtant une évidence pour tout le monde : Retailleau penche (et pas qu'un peu) à l'extrême-droite. Ses idées sont connues, de notoriété publique, et je suis même plus qu'étonné qu'il n'ait pas encore été condamné dans l'exercice de ses fonctions pour ses propos ouvertement racistes et xénophobes. Tout cela est largement étayé, documenté, et sourcé ici. Et là.
Pourtant, on ne peut que constater, sidérés, qu'il n'aime pas que cela se sache, se dise, et s'écrive. Il va même jusqu'à pratiquer l'intimidation judiciaire envers les personnes qui auraient le malheur de dévoiler son béguin pour la fachosphère. J'en veux pour preuve le fait que, pour seul exemple, deux enseignants ont été interpelés et placé en garde à vue, dans le cadre d'une manifestation d'agents de la fonction publique, à Grenoble.
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L ' "outrage" en question ? Avoir osé brandir une pancarte sur laquelle figurait la citation qui fait l'objet du titre de cet article.
Alors, si comme le suggère ce vilain syndicaliste que je suis sur Blue Sky (car lui aussi y a migré en quittant le réseau X, pour des raisons que l'on partage), vous ne tenez surtout pas à faire savoir de manière claire, nette et intelligible que Retailleau en pince pour les nazis, faites comme nous : ne le dites surtout pas 😉
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