Accéder au contenu principal

#Bolloré : l'Etat français finance les idées de merde

 Il n'est pas exagéré de le prétendre, comme l'annonce le titre, quand on sait ce que l'on sait. D'ailleurs, cette information en a scandalisé plus d'un.e : 

source

 je ne m'explique toujours pas une telle générosité envers quelqu'un qui pille sans vergogne les ressources de tous les pays où ses sociétés sont implantées. Ainsi, ce n'est pas un hasard si un collectif de 11 organisations non gouvernementales (ONG) de lutte pour la transparence en Afrique ont porté plainte contre une société du groupe Bolloré.  Implantées en Guinée, au Togo, au Cameroun ou encore à Paris, chapeauté par l’association Restitution pour l’Afrique (RAF), leur plainte vise la société Bolloré SE, son propriétaire, Vincent Bolloré (par sa holding, Compagnie de l’Odet), et son PDG, Cyrille Bolloré, le fils de l’homme d’affaires. (source)

Pourtant, cela n'a pas l'air de gêner du tout Bercy, qui lui a donc fait un cadeau royal... Pour quelles raisons obscures ?  Est-ce que par hasard, une simple supposition, il ne faudrait pas mécontenter le grand argentier de la fachosphère française, et risquer d’aggraver l'instabilité politique ? je demande, juste... ;)

 Toujours est-il que nous sommes nombreux à rêver de tout ce que l'on aurait pu faire avec cet argent, tant les besoins sont nombreux, de l’hôpital public à l'éducation en passant par l'aide humanitaire et les restrictions de plus en plus pénalisantes adressées prioritairement aux chômeurs et à celleux qui perçoivent le RSA ou l'AAH... Mais non. L'Etat français a visiblement pour priorité, lui,  d'engraisser les déjà si riches, une priorité politique nationale, sous le règne de Macron. 

Vivement les fourches.


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Pourquoi les #républicanistes franchouillards s'en prennent à #Wikipédia ?

 La clique du Printemps Républicain a encore frappé. Elle a cru bon de s'en prendre à Wikipédia, encyclopédie collaborative à laquelle je suis personnellement très attaché.    Les (premiers, vraiment ?) signataires de ce texte sont consignés ici :    Premiers signataires (par ordre alphabétique) : Bernard Accoyer (ancien président de l'Assemblée nationale), Éric Anceau (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine), Sophia Aram (humoriste), Thierry Ardisson (producteur de télévision), Muriel Attal (directrice de la communication chez France Télévisions), Olivier Babeau (président de l'Institut Sapiens), Élisabeth Badinter (philosophe, essayiste), Tristane Banon (romancière), Eugénie Bastié (journaliste du Figaro ), Pierre Bentata (essayiste, professeur d'économie), Muriel Beyer (éditrice), Jean-Michel Blanquer (président du Laboratoire de la République, ancien ministre de l'Éducation), Nicolas Bouzou (économiste, éditoria...

#Stanislas : l'école du séparatisme d'Etat #homophobie #identitaires #laïcité #pedophilie

  Oui, j'avoue, j'ai regardé hier soir Complément d'enquête sur le sujet. Et je suis plutôt sidéré par l'aveuglement de nos dirigeants politiques, qui ne peut s'expliquer que par le fait que ce lieu de ségrégation sociale (et raciale ?) défend âprement les intérêts de leur classe dominante. Autoritarisme, violence, sexisme, homophobie patente...    source   source Pédophilie...    source   Intrusion du directeur dans la vie sexuelle des élèves....  source Incitation à manifester contre le Mariage pour tous, ce qui permet de donner par ailleurs une indication tangible de l'accusation récurrente d'homophobie...  source source Sélection sociale hallucinante, qui permet ensuite de se goberger sur des résultats " d"excellence"... Alors que les élèves sont triés en fonction de critères qui n'ont rien de pédagogique ni d'éducatif !  source Obligation de suivre les cours de catéchisme et d'aller à la messe, ce qui va à l'encontre de la...

#Bayrou, complice de la #pédocriminalité. Démission !

Dans n'importe quelle démocratie, un ministre, fut-il chef de gouvernement, aurait sauté pour moins que ça. Pourtant, le silence des médias et de la classe politique sur le sujet est absolument ahurissant.  source Il est à présent établi que l'actuel premier ministre, François Bayrou, ne pouvait pas ignorer cette affaire d' agressions sexuelles sur mineurs au sein du pensionnat catholique Notre-Dame de Bétharram (rebaptisé pour tenter d'échapper au scandale "Le Beau rameau")  situé près de Lourdes. En effet, il est encore maire de Pau,  et il a exercé les mandats de député des Pyrénées-Atlantiques, de président du Conseil général, et de ministre de l'Éducation nationale. De plus,  ces deux enfants sont scolarisés dans cet établissement, et son épouse y a enseigné le catéchisme.   source Celui qui était alors ministre s’est en effet rendu sur les lieux, et cet article confirme qu’il était au courant de l’une des plaintes déposée par une victime :  ...