Accéder au contenu principal

#Barnier : déjà un aveu d'impuissance ?!

 A peine nommé, le premier ministre que la fRance ne s'est pas choisi mais qui nous a été imposé en dépit de nos votes avait annoncé, lors de la passation de pouvoirs avec Attal, qu'il porterait une attention particulière aux services publics. S'il en est un, bien davantage que des forces de l'ordre (déjà sur-dotées et survitaminées en 2024) qui doit être particulièrement observé, c'est bien celui de notre système de soins, fort mal en point comme chacun peut le percevoir au quotidien. Et ce ne sont pas les personnels de santé, tant acclamés et applaudis à nos fenêtres pendant la crise sanitaire du covid mais aussi vite oubliés par un gouvernement qui a déshabillé ses rangs, qui me contrediront. 

Pourtant, contre toute attente de la population, de ces personnels, comme des politiques qui jurent la main sur le cœur qu'ils vont faire quelque chose de significatif, on n'arrête pas une politique qui perd... chaque jour un peu plus de terrain sur le sujet. Mon petit doigt me dit cependant que la droite macroniste, dont on sait quels intérêts elle sert, n'y perd pas tant que ça, puisque ce qui est pris au service public de santé profite fort bien aux cliniques privées, et que le dessein de Macron en la matière n'est pas neutre : privilégier encore et toujours les plus fortunés. 

Pourtant, déjà, ce si peu glorieux premier ministre là, si durablement acquis aux thèses de la droite réactionnaire comme je l'écrivais dans mon dernier billet, vient d'avouer son impuissance : 


 


ça commence bien. Et ce n'est pas fini. Après les hôpitaux, l'immigration. Le débat va sentir bon son lot d'humanisme quotidien, quand on connait les thèses auxquelles s'accroche ce polype là.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Pourquoi les #républicanistes franchouillards s'en prennent à #Wikipédia ?

 La clique du Printemps Républicain a encore frappé. Elle a cru bon de s'en prendre à Wikipédia, encyclopédie collaborative à laquelle je suis personnellement très attaché.    Les (premiers, vraiment ?) signataires de ce texte sont consignés ici :    Premiers signataires (par ordre alphabétique) : Bernard Accoyer (ancien président de l'Assemblée nationale), Éric Anceau (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine), Sophia Aram (humoriste), Thierry Ardisson (producteur de télévision), Muriel Attal (directrice de la communication chez France Télévisions), Olivier Babeau (président de l'Institut Sapiens), Élisabeth Badinter (philosophe, essayiste), Tristane Banon (romancière), Eugénie Bastié (journaliste du Figaro ), Pierre Bentata (essayiste, professeur d'économie), Muriel Beyer (éditrice), Jean-Michel Blanquer (président du Laboratoire de la République, ancien ministre de l'Éducation), Nicolas Bouzou (économiste, éditoria...

#Kanaky : #NotInMyName (Le temps des colonies est révolu !).

  source Je suis d'une génération qui a connu la tragédie de la grotte d'Ouvéa , laquelle a marqué les mémoires de beaucoup d'entre nous dès qu'on parle de la Nouvelle Calédonie. Depuis, comme beaucoup j'imagine (1),  je pensais et j'espérais qu'elle se dégagerait progressivement de la férule de la France. Mais je constate simplement aujourd'hui que du côté du pouvoir, il n'en est rien, et qu'il est en train de rompre avec tous les accords précédents devant mener à plus ou moins long terme à la décolonisation de ce territoire. Car tous les historiens et connaisseurs/ses de ce sujet s'accordent à confirmer que la manière forte n'est pas la bonne et ne le sera jamais sur ce territoire colonial,  marqué par tant de révoltes populaires. Cette façon de faire a systématiquement mené dans le passé à des situations insurrectionnelles aux conséquences humaines désastreuses. L'actuelle rébellion n'échappe pas à la règle, et je suis intimem...

Bonne chance, @KamalaHarris

  source   Une petite aparté pour commencer :  à l'occasion de ce billet d'humeur, je découvre que le Président américain se nomme en réalité pour l'Etat Civil de son pays Joseph Robinette Biden. C'est vraiment ridicule, et je comprends qu'il n'ait pas choisi de l'ébruiter. Sans quoi cela entacherait sérieusement sa crédibilité, et entamerait ses chances de concourir... à sa "propre" succession. Un peu plus sérieusement,  ce n'est pas son deuxième prénom qui explique son retrait de la campagne présidentielle américaine.  En fait, une partie de son propre camp le pressait déjà instamment de retirer sa candidature avant la convention nationale, en août, pendant laquelle il devait être formellement investi . L a candidature de l'octogénaire n'a en effet cessé d'être critiquée en raison de son âge avancé . Les premiers à faire ce reproche au démocrate ont été ses adversaires républicains, qui dans le sillage de Trump, cet immonde pe...